Charlotte a du fun
Bref, si la culture québécoise est riche à plusieurs niveaux, il faut creuser et s’acharner de patience pour en trouver les trésors les plus pertinents. C’est d’ailleurs l’un des objectifs de cette chronique. Plutôt que « Le trip à trois », l’un des pires affronts du cinéma québécois aux sexualités alternatives, je vous suggère de remonter à 2018 pour découvrir un joyau caché : « Charlotte a du fun » de la cinéaste Sophie Lorain.